Petite aprem boutques =D [PV Lucas]

Keira adore les boutiques ceci n'est pas nouveau et étant une bonne comptable, elle savait trés bien gérer ses économies. Aussi c'était elle rendus compte quesoncompte en banque lui permettait de faire quelques folies. C'est donc un jour où ses cours n'avaient pas lieu qu'elle alla dans le centre commerciale vétue façon rock.
Elle aimait sentir le regard des gens sur elle, cela lui donnait un sentiment d'importance dont elle avait besoin chaque jours pour se sentir réelement vivante.
C'est donc tranquillement qu'elle flanait a travers différentes boutiques, l'esprit un peu ailleurs il faut l'avouer.
En effet ces penses se baladant plus vers son frérot que vers les fringues qu'elle effleurait a peinedu regard nochalemment.

Lucas… mais que faisait donc se jeune homme dans un rayon pareil ? Aujourd’hui, il n’avait pas cours. D’ailleurs, même si ça avait été le cas, il n’y aurait pas été . Pourquoi ? Là c’était tout un problème, figurez-vous . En effet, le jeune homme ne se sentait vraiment pas d’aplomb ses jours-ci . Enfin, ça ne date pas vraiment d’hier, se malaise qu’il a au plus profond de lui-même, non . Ca date du début de ses quinze années, environs, là où son cœur c’est mit à battre pour ce petit bout de femme, cette magnifique angelette dont lui seul savait les plus lourds secrets et les sentiments les plus sincères qu’elle pouvait éprouver . Heureusement pour lui, il se permettait de chanter de temps à autre pour évacuer tous ses sentiments désastreux qu’il avait en lui. Oui, cet amour était impossible, mais grandissait de jour en jour à ses yeux, même si l’interdiction était toujours présente. Pourtant, il n’avait qu’une envie, être avec elle pour l’éternité .

Quoiqu’il en était, il avait décidé de se changer un peu les idées aujourd’hui, vu que sa bourse le lui permettait largement de temps à autres ses folies de fringues . Lorsqu’il marchait dans le centre commercial, on voyait tous les regards convergés vers se grand gaillard aux allures étranges et efféminées . En effet, les gens le dévisageaient à chaque fois, vu se style vestimentaire spécial, tout comme du maquillage sur un visage d’homme, bien que très fin . Souriant cependant, il s’aventura dans de nombreuses boutiques, et en ressortait petit à petit, rempli de sac. Lucas alors se stoppa net derrière la vitrine d’une de ses boutiques, voyant une silhouette que trop connue, celle de sa sœur . Par folie amoureuse, il posa sa main sur la vitrine, doucement, comme pour la toucher un peu, puis se retira de la vitrine et resta planter là, ne sachant que faire…

Keira fouillait activement dans un rayonnages dont les réductions étaient fortes alléchantes et les habits d'une exentricité a toute épreuves.
Malheureusement pour elle et heureusement pour son porte monnaie, elle ne trouva rien qui la satisfaisat vraiment.
Décue, elle quitta la boutiques a regret ...C'est alors qu'elle apercut la seule personne suspetible de la sortir de son état de noirceur totale.
Il se tenait la ayant apparement fait comme elle mais avec plus de succés et la regardait intensément de ses yeux si profonds.
Instinctivement, elle s'avanca vers lui doucement pour finir a quelques centimetres de son visage, incapable de murmurer autre chose qu'un pitoyable salut pourtant gorgé d'amour et de tendresse. Ses yeux pétillants le regarder sans se lasser.

Lucas ne pouvait s’empêcher de l’admirer, au delà de la boutique, sans se lasser ne serait-ce qu’une seule seconde de cette vue . La vitrine agissait comme une barrière, même si le désir ne cessait d’augmenter en Lucas, chaque seconde qui passait à l’admirer en silence, comme un fou rempli d’amour et de tendresse instables . Il la voyait farfouille de-ci de-là sans jamais trouver satisfaction, à première vue . Ca faisait sourire tendrement Lucas, qui retrouvait là tout le caractère de ce petit bout de femme qu’il aimait tant depuis plusieurs années . Cependant, il ne se permettait pas d’oser lui avouer son amour…

C’est alors qu’elle se tourna et posa son regard dans ceux de Lucas, noirs comme les ténèbres . Ceux de la jeune femme étaient d’un doux bleu comme l’écume des flots, et Lucas s’y était noyé depuis bien longtemps à présent . Elle s’approcha et lui tremblait, frémissait, ne savait que faire ou que dire . Partir en courrant serait mal vu et il n’osait vraiment, car son cœur lui disait de rester, au contraire de sa tête qui savait que ce n’était pas bien . Cependant, plus elle s’approchait, plus il se sentait heureux de la revoir . Son visage si proche du sien à présent… il pouvait sentire son souffle chaud, l’odeur de ses cheveux, plongeant son regard dans le sien, au doux son si bas de sa voix remplie de choses tendres et affectives . Lucas lui offrit un sourire et lui déposa un baiser sur la joue, avant de s’écarter de se visage angélique, restant à quelques centimètres de se visage . Souriant amoureusement, le regard dans celui de Keira, il répondit d’une voix sensuelle et basse :

- Salut Keira…

Keira completement déchirée ... tout en Lucas l'attirais, ses yeux, ses cheveux, son look mais surtout son coeur. Cette façon d'être toujours gentil, attentif et attentionné envers elle, l'avait séduite dés le début et maintenant elle était subjugué par sa personne si attirante dans tous les sens du termes.
Elle ne supportait pas cette limite entre eux, ces chaines qui les éloignaient petit a petit les obligeants a saigner chacun de leurs côtés alors qu'ils pourraient etre heureux ensemble.
Elle failli agir sous un coup d'impulsion mais se rappelant ou est ce qu'ils étaient, elle se contente de lui prendre la main en lui souriant.

"On se balade ?"

Lui proposa-t-elle et sans même attendre la réponse, elle l'entraina a sa suite dans les dédales de boutiques qui encombraient le centre commercial.
A chaque frolement de leurs épaules, Keira ravala ses mots qui lui brulaient tant la gorge.
Elle aurait voulu hurler mais se contentait de ravaler ses larmes de rage et de rofiter de ces instants de complicité intimes.

Keira regardait sa douce et tendre petite sœur avec une envie irrésistible de poser à chaque seconde ses lèvres sur les siennes et se rappeler la saveur sucrée de ces dernières . La beauté de sa sœur, son look de rockeuse et rebelle mélangée, ses yeux si intenses et pétillants chaque fois qu’ils étaient ensembles, ainsi que sa gentillesse à toute épreuve alors qu’il était avec elle et dont personne ne connaissait la raison de ce sentiment, rien que destiné à lui, tout ça la rendait attirante, belle et faisait battre le cœur de Lucas comme jamais .

*Si seulement, on était pas frère et sœur aux yeux de la loi…*

C’était ce que pensait Lucas, bien qu’il gardait son sourire. Oui, c’était là la seule et unique raison de leur retenue qui pourtant s’amaigrissant de jour en jour. Voyez-vous, jamais ils n’auraient oser ce qu’ils avaient osé hier soir. Pour la première fois, leurs lèvres s’étaient touchées en toute discrétion, mais ils n’allèrent pas plus loin même si l’envie en brûlait Lucas encore à présent . C’était une sorte de secret lourd à porter entre eux, mais sans doute qu’un jour, ou plutôt une nuit, leurs corps ne feraient plus qu’un…

Quoiqu’il en soit, Lucas sentit la peau si douce de sa petite sœur se poser sur la sienne . Il rougit un peu et la regarda avec amour, douceur et passion, de ses yeux noirs comme la nuit . Doucement, il lui souriait toujours, essayant de garder ses pulsions, même sexuelles, un peu mortes . Cependant, la volonté de Dieu sur les hommes étaient bien étranges, car malgré tout sa montait sans qu’il ne puisse rien faire. Heureusement, ça ne se voyait pas trop…

Il n’eut pas le temps d’articuler alors un simple petit « oui » que déjà sa tendre petite sœur, Keira, l’emmenait au delà du lieu premier, dans un endroit quelconque . A chaque fois, le silence s’emparait des deux âmes, et se baiser qu’il s’était donné hier revenait sans cesse en mémoire et les larmes montaient pour Keira, Lucas le sentait très bien . Doucement alors, il se stoppa, une fois dans un coin plus sombre où peu de personne passait, et la regarda dans les yeux . Il l’amena alors à son corps, doucement, et la blottit contre lui, lui caressant le dos et lui murmurant cette petite phrase, doucement :

- Je t’aime…

Keira marchait sans réellement se rendre compte d'ou elle allait tout ce qui comptait c'était la présence de lucas a ces côtés. Elle haissait ses lois stupides qui plus est étaient fausses puisqu'il n'avait absolument rien en commun a part le nom.
Elle revoya en flashback a scene de hier, elle aurait aimé que cet instant ne s'arrete jamais. Prise d'un nouvel élande larmes qu'elle ravala aussitot, elle se forca a regarder droit devant elle.
C'est alors qu'il l'entrainat dans un coin plus sombre a 'abri des regards indiscrets la ou personne ne pourrait rien soupconner.
Leurs corps si proches qui se touchait et levisage de lucas si prés faisait s'enflammer son corps rendant la douleur insupportable.
Elle plongea ses yeux illuminés de larmes dans ceux si sombre de son amour caché et c'est alors qu'il pronocat la phrase fatidique. Lui, il avait eu le courage de lui dire, d'avouer, d'assumer ses sentiments plus qu'interdit maintenat c'était a elle de faire le pas qui les rapprocherait a jamais. Ce pas si defendu, ces parets allaient certainement l'envoyés dans un internat pour bonnes-soeurs mais elle s'en fichait completement car elle l'aimait ....oh oui elle l'aimait plus que tout ...
S'approchant encore un peu plus de lui jusqu'a sentir son haleine fraiche sur son visage elle lui murmura

"Lucas .... moi aussi je t'aime ..[silence].. plus que tout ..[resilence].. et qu'importe ce qu'ils diront tous ...C'est avec toi que je veux être ... jusqu'a la fin ...Je t'aime ."

Elle ne le quitta pas des yeux même quand son visage fut inondé de larmes. De larmes qui étaient a la fois du soulagement d'avoir enfin assumer ses sentiments mais aussi de peur car quelque soit la rebelle qu'elle était, ses parents n'approuveraient jamais sa décision. Elle avancait vers un avenir incertain mais elle était avec lui c'est tous ce qui comptait.

L’endroit dans lequel Lucas avait emmené sa douce petite sœur était en effet très sombre et personne n’y passait jamais . A vrai dire, c’était un coin assez reculé du centre commercial, près des vieilles boutiques inanimées car faute de propriétaires . Elles fussent donc abandonnées et personne ne passait jamais par là, à moins de chercher un coin plus intime, comme Lucas, pour autant qu’on le connaisse . Se fut alors la partie du centre la plus discrète qui soit, loin des regards des autres . Là au moins, ils seraient au calme et personne ne viendrait ne serait-ce que les épier .

De plus, étonnement, le centre était rempli de personnes plus âgées . Sans doute que les filles trouvaient les prix trop hauts où qu’une fête avait lieu sans que Lucas y soit invité, ce qui serait normal . Il n’était invité que lors des soirées un peu plus osées, là où les jeunes étaient interdits et les risques grands . Était-ce peut-être pour ça que personne n’osait l’approcher ? Quoiqu’il en soit, sa petite sœur n’aimait pas qu’il aille à se genre de soirée trop arrosée sans elle, ce qui ne l’étonnait plus depuis hier . Enfin, il avait compris pourquoi elle était aussi possessive que lui… Car la génétique n’étant pas la même, on ne pouvait pas dire que c’était de famille .

Quoiqu’il en soit, Lucas avait murmuré doucement ses mots à sa sœur, plongeant son regard aussi sombre que les Enfers elles-mêmes dans ceux si doux de sa petite sœur, à moins qu’elle soit fâchée… Le jeune garçon n’attendait pas de réponse de sa sœur adorée et aimée, Keira . A vrai dire, il fut un peu étonné qu’elle ouvre la bouche . La voix de la jeune femme déraillait alors chaque fois que les mots se prononçaient, un peu plus, se coupant de silence tel une lame tranchante dans sa phrase . Sans doute qu’elle était très triste et heureuse en même temps, comme Lucas .

Doucement alors, il caressa le visage de sa sœur, les paroles finies, et lui souriait amoureusement . Son corps brûlait peu à peu, s’enflammant tel une maison embrasée par les flammes de la Haine . Cependant, il n’éprouvait rien d’autre que de l’amour et … de la culpabilité . Dans un certain sens, c’était tellement mal ce qu’ils faisaient . Comment pouvait-il, cependant, se résigner à la laisser dans les bras d’un autre ? C’était insensé, mais il y avait songé, jadis . Il la regarda alors doucement et déposa un tendre baiser sur ses joues qui n’étaient pas inondées . Il murmura ensuite :

- Je… c’est un peu fou ce que nous vivons… mais je m’en moque . Je veux être avec toi pour l’éternité… et on est majeur tout les deux, ils peuvent rien nous faire… mais se dévoiler au grand jour serait une lourde charge pour les deux… bien qu’on a que le nom en commun . Alors… laissons faire les choses et… on verra bien où ça nous mènera . D’accord ?

Sa voix était étonnement calme et sans vibration de tristesse . C’était une particularité de Lucas, en lui, qui était effrayante et attirante . Personne ne l’avait vu craqué ou perdre son calme…

Keira écouta chaque paroles qu'il prononcait avec une attention toute particulière ne le lachant pas des yeux pour autant. Certes elle ne pouvait qu'approuver ses paroles trés réfléchies mais a l'idée de devoir se cacher elle s'assombrit. ils n'auraient jamais le droit a une relation simple c'était certain mais elle preferait courir le risque que de le voir s'en aller. Honteuse de son propre comportement, elle sécha ses larmes d'un geste rageur ses yeux s'assombrissant sous la colère.

"oui t'as raison ...Autant ne pas se prendre la tete et laissez les choses allaient de l'avant toute seule. On verra bien ce qui se passerat ..."

Elle lui souria, heureuse parce que au fond d'elle, elle se fichait completement de ce qui allait se passer puisqu'elle était avec celui qu'elle aimait. Il n'y avait rien de plus important.
Elle posa ses mains sur son visage, caressant chaque traits qu'elle connaissait par coeur, le devorant des yeux avec tendresse et amour.
Elle approchat ses levres des siennes brulant de désir a ce contact mais se retint au dernier moment se demanda si elle ne prenait pas ses désirs pour des réalités ...

Lucas la regardait doucement dans ses yeux encore que trop humides . Les larmes coulèrent alors enfin, laissant sans doute un brin de souffrance s’échapper du corps de la jeune femme, ainsi que dans son esprit quelque peu différent des autres, comme Lucas . Il fallait dire que la famille Stevens était en général des plus étranges, vu le divorce fracassant et les coups que la mère adoptive de Lucas s’était fait mettre par le père de Keira, et le beau-père de Lucas donc . Mais ses choses là, il valait mieux les éviter, surtout de s’en souvenir dans des moments pareils, là où seul l’amour devrait résider .

Il observa alors doucement sa sœur et ses yeux s’assombrirent d’une certaine lueur que Lucas connaissait que trop bien dans ceux de ses adversaires, ceux de la rage et du chaos intérieur parfois. Même si Lucas n’avait jamais les yeux qui changeaient beaucoup, sauf avec sa sœur, il observait énormément les autres . Quoiqu’il en soit, sa sœur éleva doucement la voix, remplie de tristesse . Lucas lui caressa doucement la joue et murmura, d’une voix tendre :

- J’ai une idée… vu qu’on est majeur, on pourrait demander une chambre à l’université, plutôt que chez notre mère… Et se sera notre Paradis à nous et personne ne pourra nous déranger… Qu’en dis-tu ?

Il lui sourit alors et vit le visage de Keira s’approcher de son visage fin et délicat, presque de ses lèvres, mais elle hésita et se recula un peu . Lucas alors lui prit doucement le menton et apportant les lèvres de sa sœur sur les siennes, puis lui caressa doucement le dos en même temps . C’était peut-être mal, mais il s’en fichait éperdument. Il n’avait besoin que d’elle et elle seule…

Lorsque Lucas lui proposa une chambre ensemble a l'université, elle eut l'impression que des ailes lui poussaient et un énorme poids s'enleva de sa poitrine. C'était une idée trés stratégique e trés efficace pour eviter les indiscrets et les ragots.

"Entierement d'accord avec toi ! Exellente idée !"

S'étant reculéeun peu devant le doute que lui avait inspirée son désir de plus en plus brulant, elle fut surprise que ce soit lui qu'il l'attire et colle ses levres contre les sienne dans un baiser passioné déclenchant des frissons dans tous son corps. Lamainqui allait de haut en bas dans son dos la rassurait et a présent plus absolument plus rien ne comptait que lui.
Elle noua ses mains sursa nuque, jouant avec ses cheveux, caressant son visage et lui rendit son baiser avec fougue, assion, tendresse et amour. Enbref avec tout ce qu'elle n'osait pas dire et qu'elle exprimait a travers ce baiser.

» Une petite fille dans un arbre[Libre]